Retour sur les États généraux de l’enseignement supérieur

Le 19 mai dernier, les organisateurs de l’événement des États généraux de l’enseignement supérieur m’ont offert la chance de m’exprimer lors de l’atelier B3 sur la précarité et la contractualisation en enseignement et en recherche. Ce fut l’occasion d’afficher quelques statistiques sur nos conditions de travail à l’Université Laval et dans les centres affiliés. Aussi cela a permis de partager avec les personnes présentes quelques pistes de solutions afin de lutter contre la précarité des emplois de professionnelles et professionnels de recherche.

Personnellement, j’ai assisté à l’atelier A2 portant sur l’amélioration des conditions de réalisations de la recherche. Un fait intéressant, la directrice générale de l’Association pour la recherche au collégial, madame Lynn Lapostolle, a pris la peine de nommer tous les acteurs de la recherche au collégial incluant les professionnelles et professionnels de recherche.

J’ai également bien apprécié la présentation de Michel Ouellet, président du Syndicat des professionnelles et professionnels de recherche œuvrant au CHUL (SPPROC), d’autant plus que l’essentiel de sa présentation portait sur les détails du rapport sur l’examen du soutien fédéral aux sciences nous concernant. Un rapport qui a d’ailleurs été l’objet d’une nouvelle au SPPRUL-CSQ.

Du côté de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), une lettre ouverte signée par l’ensemble de ses affiliés ayant participé à ces journées de travail a été soumise aux médias, résumant très bien l’essentiel de l’événement. Un grand merci aux organisatrices et organisateurs de ces états généraux.

Luc Caron

Président SPPRUL-CSQ